Globalement vous étiez plutôt dans le bon, en effet, cette troisième histoire est
vraie !Bravo à celles et ceux qui avaient deviné, vous remportez chacun 10 âmes pour votre garde o/
Compteur des âmes du Champ des Ludi :Absynthe : 200
Obsidienne : 120
Ombre : 290
Voici la nouvelle
anecdote rédigée par
SerenataC’était un mois de mai tout à fait ordinaire. Nous étions un petit groupe d’amis parti campé avec d’autres jeunes. Il faisait très beau et très chaud pour cette période. Bien sûr c’était du camping sauvage, nous avions trouvé un vaste champ pour y planter nos tentes. Une campagne loin de tout pour faire du bruit évidement. Pas une âme qui vive.
Chaque petit groupe s’était mis dans un coin. Nous avons monté, dans la bonne humeur notre campement. Le feu aussi, car il fallait bien profiter. Nous avons passé le reste de la journée a préparer notre journée du lendemain et aussi notre soirée. Nous avions décidé de faire des jeux de sociétés.
La nuit commença a tomber doucement. Les deux garçons du groupe décidèrent d’allumer le feu. Nous les quatre filles sortirent de quoi manger. Ce n’était pas vraiment un repas de luxe mais c’était parfait. Nous nous installâmes autour du feu. Le raps se passa tranquillement. Un des garçon à côté de moi fit alors un bon en me hurlant de ne pas le pincer. Je le regardais sans comprendre et je me moquais alors de lui. Une amie de son côté se leva d’un bon en claquant de dents. Les quatre dernier dont moi les regardâmes avant de rire. Les deux se rassirent confus. Je bu et un courant d’air glacer me traversa. Je sursautais faisant rire les gens autour de moi. Je grognais. J’avais froid maintenant. Nous continuâmes a manger et a rire mais des frissons me parcouraient souvent, comme une main glacée qui se glisse sur mes bras. Soudain un hurlement, comme celui d’un loup nous fit sursauter et crier dans les autres camps
« C’est qu’un chien loin
-Euh …
-Aller y a rien et les loups ne sont pas dans le coin et on a un feu
-Moui si tu le dis »
Nous étions un peu moins rassurés. Soudain un courant d’air froid tourna autour de nous. Nos yeux s’écarquillèrent et nos bouches s’ouvrirent. Puis plus rien. Nous nous regardâmes avant de vite nous frotter les yeux. Nous avions rêvé
« Qui a mis de l’alcool dans nos verres
-Euh pas moi
-Non surement dans le repas »
Je me figeais soudain, regardant au loin. Un hurlement m’échappa. Mes amis se tournèrent dans ma direction que je regardais. Ils hurlent et d’un bon nous nous réfugiâmes dans la plus grande des tentes. Dans nos duvets, serrer les uns contre les autres. Quel était donc cette forme flou qui nous avait regardé un instant. Les hurlements des autres camps nous parvinrent peu à peu. Nous faisant nous blottir de plus en plus les uns contre les autres. Les yeux fermés.
Le soleil se leva alors, nous n’avions pas dormi, juste espérant passer la nuit sans peur, blotti les uns contre les autres. Quand la lumière se fit, sans un mots, nous plièrent bagages. Nous partîmes rapidement et au loin un rire se fit entendre.
A vous de jouer, cette anecdote est-elle
vraie ou fausse?Vous avez jusqu'à
minuit!