Elehann
Merci bien pour ce gentil accueil !
J’ai toujours préféré les livres aux écrans, de façon générale, alors j’imagine que ça a dû jouer. Mais de la même manière qu’on peut aisément regarder plusieurs fois les mêmes épisodes lorsqu’on aime particulièrement une série, je ne pense pas qu’il faille craindre, une fois les scripts ouverts, un sentiment de redite. Bien sûr, la présentation comme d’une pièce de théâtre peut rebuter les adeptes de romans ; c’est à mon sens le seul vrai danger.
Concernant les coquilles, il y a parfois des mots qui manquent, des mots en trop, une ou deux fautes… Le genre de coquilles qu’on peut retrouver dans n’importe quel ouvrage. Là encore, je n’ai pas d’exemple à citer, puisque ce n’est pas le genre de trucs dont je retiens le détail tant que ça n’est pas un problème constant. En revanche, je me souviens d’un endroit du style « Personnage : propos du personnage » où, clairement, étant donné le contexte et le déroulement du dialogue… Ce n’était pas le bon nom ! x) Mais comme je déteste l’idée d’écrire sur un livre, je n’ai pas corrigé ce qui pourtant aurait mérité de l’être. Ah, et il y a aussi des moments où je me suis demandée si la réplique n’avait pas été modifiée lors du tournage, puisque Astier lui-même écrit que les scripts ont été publiés dans leur version brute, sans prendre en considération des changements survenus sur le plateau. Ça peut déstabiliser.
Non, la visualisation n’est pas un souci. Comment m’expliquer ? C’est vraiment… Arthur, sa dépression, sa déchéance, et finalement cette scène terrible… C’était trop pour moi. Je ne suis pas une adepte de drames. Je peux en lire, en écrire… Mais je reste plus volontiers cocoonée dans la romance et l’humour, l’épique et les happy ends.
Concernant Méléagant… Justement, cet aspect mystérieux me laisse de marbre ; je ne me demande pas ce qu’il pense, ce qu’il veut au fond de lui, pourquoi, comment… Je n’arrive même pas à le détester pour le mal qu’il fait à Lancelot, Arthur et Logres tout entier… Non, je ne l’aime pas car je ne ressens rien d’autre en le voyant, en l’écoutant, que l’envie de rapidement passer à autre chose. Je soupire « Ouais, ouais, c’est ça, c’est cool, abrège poto. » et aaah ! Enfin, la délivrance quand on change de sujet-personnage. L’oppression qu’il est supposé véhiculer, les craintes… ne me touchent pas du tout. '-' Je ne saurais pas dire à quoi c’est dû exactement mais vraiment… Dès qu’il apparaît, il me sort de l’histoire.
KV1
Ah, ah ! Oui, Bohort évolue énormément (comme la plupart des personnages, d’ailleurs) ; je n’oublie pas la façon dont il s’est opposé à Lancelot en fin de série, ni le fait qu’il est…
KV1
… mais c’est bien son lui originel qui se trouve être le plus proche écho de ma personnalité.
Je profite de ce nouveau message pour glisser que, parmi mes lectures concernant Kaamelott, mon grand-père m’avait ramené un numéro spécial du Figaro Histoire « Le roi Arthur, l’histoire et la légende », qui était plutôt cool et traitait, entre autres choses, de KV1, donc si ça intéresse quelqu’un… :’)
A la prochaine~ !